Le monde magique n'est pas aussi grand qu'il aimerait à le croire. Aujourd'hui, il y a des figures incontournables du monde magique que tous et toutes connaissent. Que ce soit le ministre de la magie ou même le directeur de la gazette du sorcier, chacun connaît leurs noms et chacun aime à entendre des ragots à leurs sujets. Mais les ragots ne sont que ce qu'ils sont: une déformation de la réalité et souvent, ce que l'on raconte sur untel ou untel peut s'avérer complètement faux au sujet de la personne. Mais allez l'expliquer aux magiciens... X Attention, cette annexe est particulière. Elle sera régulièrement mise à jour, en raison des nouveaux héros que vos présentations pourraient amener sur le forum. Si vous pensez que votre personnage est une célébrité ou une personne importante et connue, n'hésitez pas à mpotter un membre du STAFF pour lui en toucher un mot ou deux.

SEPTYMUS ROSIER, ministre de la magie∞ Derrière chaque homme de pouvoir se cache une femme, c’est ce qui se murmure depuis des années, depuis que certaines femmes sont entrées dans l’Histoire, indépendantes et pleines de pouvoir. Derrière le Ministre se cachent deux femmes : l’épouse et la fille. Avides de renommée, elles se servent habilement de ce nabot un peu imbécile afin d’obtenir ce qu’elles veulent ; le ministre de la magie est corrompu jusqu’au bout de son horrible petit orteil gauche. Il n’a rien d’une lumière et c’est finalement le sexe qui l’a casé à cette place, juste des manipulations, des idées brillantes ne venant certainement pas de lui. Il a le pouvoir entre les doigts, les caprices de ses dames sur les épaules. Il ne sert pas vraiment à grand chose, n'est qu'une façade - une vitrine - pour ceux et surtout celles qui tirent les ficelles derrière lui. Septymus Rosier n'est pas en lui-même un homme dangereux mais c'est justement son manque de dangerosité qui fait de lui une telle menace. Dans des temps aussi troublés, aussi sombres que ceux qui se préparent, les sorciers ne sont pas en sécurité avec un chef, un leader qui manque de force et de conviction. Et pire encore: ils ne sont pas en sécurité avec un ministre qui, malgré lui, lèche les bottes des pires membres de l'Oblivion.

Marietta Geller, directrice de St. Mungo's Hospital ∞ Etrange. La directrice de St Mungo’s Hospital est étrange. Loufoque. Longtemps la communauté sorcière pensa que cette femme au look particulier et à l’air ailleurs ne serait jamais à sa place à la tête d’un hôpital, surtout celui-ci, si cher à la population. La plupart des enfants y naissent, les accidentés y passent, nul n’ignore où il se trouve et les services formidables qu’il propose. Forcément, quand Mariette atteint le poste de directrice, cela divisa les opinions. Mariette est fun, personne n’y peut rien. Elle est amusante, souriante, décalée. Disons que ses traits d’humour ne sont pas à la portée de tous. Madame Geller, farouche indépendante, n’a jamais vécu au crochet d’un homme et se refuse à les considérer comme un tant soit peu supérieurs aux femmes, et encore moins à sa brillante personne. Un peu de narcissisme n’a jamais fait de mal, d’autant que ça ne l’a jamais empêché de se montrer douce, compatissante et à l’écoute des patients comme du personnel. Si elle évitait parfois ses pics d’humour noir, cette directrice serait la perfection incarnée. Beaucoup pensent qu’elle est homosexuelle, ce qui expliquerait sa sévérité avec la gente masculine, le fait est qu’elle n’est sévère qu’à juste titre et ce avec tous ses employés, n’admettant pas qu’il soit acceptable de perdre des vies. Il faut croire que les sorciers mâles ont plus de mal à accepter l’autorité de Marizarre.. pardon, Mariette Geller, l’être le plus étrange qui ait dirigé St Mungo’s hospital.

DORIAN DORNWELL, directeur de la gazette du sorcier ∞ Vous connaissez la presse people ? Dorian Dornwell adore la presse people. Toutes ces personnalités dont on étale allègrement la vie privée, c’est fascinant. Ca l’amuse. Il faut dire que le directeur de la Gazette est parfaitement accroc aux nouveautés. C’est son truc, les nouveautés, que ce soit une nouvelle plume à papote aux propriétés exceptionnelles ou le dernier balai crée par un fabriquant étranger, il ira voir, il voudra l’avoir. Ca ne l’empêche pas d’être un homme d’une sévérité célèbre dans le monde entier, à l’internationale, jusqu’au plus petit village sorcier d’Italie. Il ne tolère pas les erreurs. La Gazette, c’est toute sa vie. La Gazette, c’est son bébé. Les stagiaires pleurent face à sa franchise acide. T’écris mal ? Tu dégages. Il n’est pas tendre mais c’est ce qui rend son journal aussi populaire. De toutes façons, le problème ne vient jamais de sa personne. Ce sont les autres, les idiots, les têtes de scroutt à pétards. Têtu, lui ? Jamais ! C’est ce qu’il vous affirmera haut et fort de sa voix grave.  Intimident, il n’a pas non plus la langue dans sa poche et c’est un hôte formidable pour toute soirée mondaine organisée à ses frais. Les soirées sont le lieu idéal pour pêcher les informations les plus délicates à dénicher et ce en toute discrétion. Un sorcier connu ayant abusé du Whiskey pur feu a toujours de l’intérêt. Dorian ne cesse jamais de travailler. Il mange journalisme, dort journalisme, respire journalisme. La Gazette ne serait rien sans lui, clame-t-il toujours à ses détracteurs. C’est sans doute vrai car, après tout, les chiffres n’ont jamais été aussi bons.

LAZLO WEISS, chercheur ∞ L’Iceberg par excellence. C’est un homme froid, droit, un homme inflexible, un chercheur dont les failles sont encore à trouver. Son regard d’acier semble mordre quiconque le contrarie. Le tact ? Un terme inconnu pour cet être de franchise dont le cœur est absolument inexistant. Il n’a de tendresse que pour peu de personnes. Il a sur la conscience la mort de sa collègue, Cora Lazaridis, mystérieusement retrouvée inerte et l’abandon de sa fille, confiée à un frère violent. Lui-même violenté durant son enfance, il a développé une stratégie d’évitement, noyant ses angoisses dans le travail. Le contact le dérange, non consenti, il le rend agressif. La proximité n’existe pas avec l’allemand, fier comme un hippogriffe, caractériel comme une manticore ; il est au service des différents ministères avec la même dignité de sang-pur honorant son nom. Fourchelangue et fier de l’être, nul n’a jamais eu à se plaindre de ce qu’il est - en dehors de cette façon qu’il a de dire absolument tout ce qu’il pense. Si vous avez pris de l’embonpoint, évitez-le, il ne pourra pas s’empêcher de vous conseiller un régime. Possesseur du château familial sur l’île d’Anglesey (Pays de Galles), il vit sur un héritage confortable et son salaire démesuré. La nature l’a gâté, disent les journalistes. Ils ignorent le calvaire que fut son éducation, entre les morsures des serpents teigneux et les coups doubles pour chaque infime échec. Lazlo refuse l’échec, c’est son éducation. Échouer le rend incontrôlable. Échouer le plonge dans une période d’isolement dont il ne sort pour personne ; le ciel pourrait tomber sur Londres qu’il ne sortirait pas. Et s’il paraît être un homme sans la moindre sensibilité, il n’en reste pas moins ancré dans une bonté contre laquelle il ne peut rien : ses paradoxes font partie de lui. Excellent élément du ministère, il est célèbre pour avoir découvert les propriétés positives du venin de Basilic.

Aloysius Swan, ancien chef des Aurors ∞  S'il y a bien un homme que tous et toutes apprécient dans le monde magique, c'est bien Aloysius Swan. Tous les sorciers et sorcières se sentaient en sécurité quand c'était lui qui se trouvait à la tête des Aurors et malgré son côté loufoque et décalé, chacun avait la certitude qu'il pouvait dormir sur ses deux oreilles. En effet, si Aloysius Swan est un homme un brin fou et décalé, c'est également un excellent sorcier et un leader charismatique qui a lui seul, à redonner toutes ses lettres de noblesse au métier d'Auror. Ayant restructuré le bureau, les épreuves, les entraînements, il a fait des aurors des sorciers plus compétents et plus aptes à défendre la population magique. Certains racontent qu'il s'est jeté dans le travail suite à la mort de sa femme - pour tenter de panser le trou béant dans son cœur. Mais peu importe la raison, du moment que son travail était impeccable. Beaucoup regrettent le départ à la retraite de ce grand sorcier et nombreux sont ceux et celles qui murmurent dans les ombres que sans les magouilles de Rosier, cela aurait été Swan qui aurait pu arriver à la tête du ministère de la magie. Dommage que cela ne soit pas le cas...