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✤ VII. LA VIE AU DIX-SEPTIÈME SIÈCLE (background)

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Amortentia
tremblez mortels
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MessageSujet: ✤ VII. LA VIE AU DIX-SEPTIÈME SIÈCLE (background) ✤ VII. LA VIE AU DIX-SEPTIÈME SIÈCLE (background) EmptyJeu 17 Juil - 20:49

La vie au dix-septième siècle
Do not dwell in the past, do not dream of the future, concentrate the mind on the present moment

Le dix-septième siècle sorcier est une époque très différente de celle que vivent aujourd'hui les différentes générations d'après-guerre. Même si les sorciers ont toujours eu du retard sur les technologies moldues - et ce depuis toujours et jusqu'à aujourd'hui -, ce retard prenait toutefois de sacrés extrêmes à l'époque. Les grands historiens sorciers parlent d'une époque archaïque, tout aussi proche du Moyen-Âge que de l'âge de pierre. A l'époque, mariage arrangé et tout le toutim était encore de mise. Et les sorciers n'ont jamais eu la décence d'attendre la floraison d'une fille pour donner sa main ; ainsi les plus jeunes de douze ou treize ans pouvaient se retrouver mariées à des croûtons pas très frais sans avoir le droit de protester. Il n'y avait, d'après la plupart des sources écrites retrouvées, que les familles pauvres ou très modestes pour parler de mariages d'amour. Beaucoup d'alliances, au cours de la guerre, ont eu pour résultats des mariages et, évidemment, des enfants. Les familles étaient plus ou moins nombreuses selon leur richesse et renom et ça restait très rare que deux parents ne se retrouvent avec seulement un enfant : les protections sexuelles n'existaient pas encore et le seul moyen de ne pas avoir d'enfants était de boire une potion spéciale, après fécondation. Une potion absolument douloureuse et dégoûtante ; était-elle peu prisée et plutôt considérée comme une punition qu'autre chose.

L'école, en ce temps, n'était pas obligatoire même si la plupart des européens de l'ouest y envoyaient leurs enfants, autant pour les protéger de la Guerre que pour leur apprendre à se battre. Pour les sangs-pur et les sangs-mêlés, évidemment, la tâche était bien plus simple que pour les né-moldus. Toutefois, tous les ans passaient dans chaque village de chaque comté des sorciers à chevaux, traînant derrière eux des chariotes d'enfants avec pour seule direction :  Hogwarts ou Beauxbâtons. Comme on peut s'en douter, pour Durmstrang, c'était une toute autre histoire : les enfants devaient venir d'eux-mêmes (en rappelant que l'école slave se trouve sur une île au milieu de la mer houleuse du Nord) ou avec leurs familles et devaient ne pas être de sang moldu ou bien... eh bien, ils étaient jetés des falaises. Autant le préciser tout de suite, au dix-septième siècle, on y allait pas par quatre chemins. A l'époque, alors que certains récitaient leurs vers dans des palais et châteaux, les sorciers se défiaient... tout le temps. Et que je te défie en duel à mort et que je m'arrête au premier sang et que je recommence. Tout le temps. Et ils y allaient pas qu'à la baguette, ils avaient aussi le poignard, l'épée, la masse, le fléau, bref, ils étaient restés dans leur petit Moyen-Âge confortable. A l'émergence des armes à feu, ils furent les premiers à s'en étonner mais, très vite, ce genre d'armes fut dénigré suite à la mort de Arthur le Fol, assassiné lors d'un duel d'une balle entre les deux yeux. Bien trop rustre et lâche pour les sorciers. Ainsi restaient-ils aux armes blanches, préférant se poignarder dans le dos plutôt que de s'exploser la cervelle en se regardant dans les yeux (c'est déjà ça de pris). Vous imaginez les dégâts de la Guerre sinon ? Déjà que là c'était pas mal... faut dire qu'ils y allaient pas de main morte non plus là. Ils tuaient sans pitié, les sorciers, et les prisonniers qu'ils faisaient ? Des têtes connues ou juste des gens à torture - pour les slaves du moins.  Les Britanniques quant à eux préféraient faire des prisonniers que des morts, des prisonniers qu'ils tentaient - tout du moins au début de la guerre - de traiter avec respect et dignité, malgré leur mauvais comportement et leurs mauvaises relations. Malheureusement, la surpopulation et la haine grandissante pour l'ennemi les rendirent plus durs avec leurs captifs, pouvant par moment les pousser à les laisser mourir de faim. Mais c'était vraiment rare, les Britanniques n'étant pas d'un naturel mauvais et cruel. Enfin bref, c'était pas des sauvages quoi.

Étrangement, à Durmstrang, c'était là-bas que les femmes étaient quasiment autant estimées que les hommes, du moment qu'elles faisaient leurs preuves - ainsi beaucoup de rôles importants échurent à certaines d'entre elles, notamment la direction de certaines marches aux illustres Nikolina Kochetchkine et Andromeda Petrov. Il ne faut pas non plus oublier que la directrice de Durmstrang était l'une des sorcières les plus redoutables ayant jamais existées, Freya Romanov a largement mérité ses pages sanglantes dans les livres d'Histoire. Toutefois, comme dans la majorité des pays d'Europe, l'homosexualité était très mal vue (quoique mieux supportée en Norvège, allez savoir pourquoi) et mieux valait se cacher plutôt que d'être lapidé(e) sur place. Car tous ces petits gens étaient très croyants et persuadés que la Bible disait ceci et que la Bible disait cela. Oui. Vous avez bien lu. Des sorciers croyants. Les sorciers avaient toutefois leur propre dieu, la Nature qui était, d'après eux, la source de leur magie et de leur force. D'après leurs religions, au début, seuls les sorciers peuplaient la terre mais, à la naissance du premier Cracmol et à l'extinction du Peuple des Montagnes, bref, y'a eu une couille et leur population s'est retrouvée réduite des trois quarts. Les sorciers du dix-septième siècle avait une très grande culture religieuse, très importante et pointue, avec son lot de contes de bonnes femmes et de légendes - toutefois, avec le temps, l'encre s'est effacée des pages et la croyance des esprits avec.

Tout ça pour dire que, à l'époque, c'était un peu... c'était un peu la guerre tout le temps. Y'avait des complots de famille pour savoir qui aurait la plus grande terre, le plus gros titre, qui serait le mieux casé par rapport au roi, bref, des intrigues normales de pays européens en somme. Moldu ou sorcier, le monde n'est guère différent : il a juste quelques siècles de différence.
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