BIENVENUE SUR AMORTENTIA nous espérons que vous vous plairez en notre compagnie - n'hésitez pas à mpotter un membre du staff si vous êtes perdu(e) Si vous souhaitez donner un petit coup de pouce au forum, ça serait adorable de laisser un message trop chou dans notre pub bazzart ! Bonne journée les loulous |
| | Un russe pour vous faire souffrir. | |
| |
Dragomir Zakharovtu fais frétiller ma baguette magique |
| Sujet: Un russe pour vous faire souffrir. Mer 27 Aoû - 18:30 | |
| Dragomir Avandeïev Zakharov SI TU PENSES QUE LA LUMIERE EST LE BON COTE, C'EST QUE TU N'AS ENCORE RIEN COMPRIS. comment ça se passe niveau taff, t'es content de ce que tu fais ? si tu savais. Le sang coule et mon coeur bouillonne, les cris emplissent l'air et mon ventre papillonne. Tu souffres et moi j'exulte, je prends mon pied alors que tu rends ton dernier souffle, faire le mal, il n'y a pas meilleur job. et ta famille t'as le temps de la voir, ils te manquent pas trop? une ? Une quoi ? Désolée, j'ai toujours du mal à m'adapter à cette langue. Une famille ça vous ralentit, vous affaiblit. Pas le temps pour l'amour et ces conneries, moi j'avance. Seul et sans attaches, c'est tellement mieux. C'est la liberté. et les amis ça s'passe comment, t'as des faces de scroutt à pétards que tu voudrais bien déglinguer ? les amis ça vous emprisonne. Ca vous ment, ça vous trahi. Les amis ça n'existe pas. Comme les contes de fées en fait. allez, fais pas ton troll, je t'ai grillé(e), parle moi de l'élu(e) de ton cœur et de ce qui se trame entre vous, tu veux bien ? élu(e) de mon coeur ? Si par coeur tu entends la splendeur qui s'étend entre mes deux cuisses, alors je t'assure que j'en ai beaucoup d'élus ! Déjà le beau petit morceau de testostérone d'hier soir, ou la petite blonde de ce matin, à croquer. Ou encore la jolie rousse, pulpeuse, dans les toilettes du bar. Tu parles de ces élus là ? Alors sache princesse que je suis très sociable et très gentil, à ce niveau là je partage tous mes coups. d'ailleurs il sent quoi ton amortentia à toi ? la sueur, le sang, l'odeur de la fraîcheur de la nuit tombée, l'herbe coupée, une légère odeur de jasmin, la morsure des hormones j'y pense d'ailleurs, t'es allé où à l'école et c'était comment? j'y suis allé, j'ai vu ce que c'étais et j'ai appris. Puis je suis reparti, ne m'arrêtant que pour couper quelques têtes, charcuter quelques écervelés, prendre mon pied aussi, parfois. Ah oui, l'essentiel aussi, rappeler à toutes ces femmes que plus elles croient s'instruire et plus elles deviennent bêtes et inutiles. J'ai été en cours, j'ai été dans les meilleurs, dans ceux qui frôlent la perfection, dans la splendeur des ténèbres et je suis parti, éclairer de mon savoir des êtres infâmes et sans pitié. Avec fierté. Et sinon, Durmstrang élève de Meduhatsk, sans doute le meilleur de ma promotion. Si mes souvenirs sont bons, j'étais dans les rangs des Medusas. Respectez moi comme vous me respectiez, rappelez vous ma place et mon rang, inclinez vous. Mais dans cette vie là, j'ai été à Hogwarts en tant que serpentard. t'as des projets d'avenir ou tu comptes juste glander toute ta vie ? Il paraît que le département des mystères recherchent des langues-de-plomb, j'vais sans doute postuler. hey, pour finir, passe le micro à celui ou celle qui se planque en toi, dis toi là, la vie passée tu penses quoi de ton nouveau toi, un conseil, une mise en garde ? les apparences sont trompeuses, des souvenirs se cachent mais reviennent à la surface quand le sommeil s'installe, si Dragomir est ainsi, ce n'est pas pour rien, il n'est pas qu'un simple sorcier des ténèbres imbu de lui-même et terriblement dangereux, c'est dans sa nature, c'est son âme, c'est son passé et son futur. | égoïste, sadique, sadomasochiste, violent, arrogant, imposant, inteligent, malin, fonceur, battant, mordant, manipulateur, dingue, aveuglé par sa soif de sang. Terriblement attiré par le sang, incapable d'avoir une relation sentimentale saine. A besoin de violence pour ressentir du désir, incapable d'avoir une érection sans présence de violence, de sang, de douleur. Aime dominer, domine tout le temps et surtout les femmes. Lors de l'acte sexuel, a besoin de voir l'autre souffrir, aime ressentir de la souffrance. Animal. Indomptable, libre. Indépendant, caractériel. Sorcier de sang-pur. Né dans une famille noble, riche, il était le fils aîné, la fierté de la maison. Il a été envoyé à Durmstrang, pour représenté sa famille et être un bon prétendant. Mais il s'est avéré décevant pour la famille, les femmes - bien qu'ils les attiraient comme des papillons - ne lui donnait aucun désir. Pendant un moment, ils ont crus qu'il était 'du mauvais côté', pis il est devenu Medusa. Tout s'est éclairé. Tout allait enfin se savoir, leur fils était un dingue, un psychopathe, avide du sang et de la douleur, avide du malheur. Pire, il aimait ça, c'était la seule façon qu'il éprouvait du plaisir. Il arborait sa bague avec fierté, s'en prenait aux plus faibles, frappait et ne se faisait jamais pincé. Il était fort et tous le savaient. Il était fier et il pouvait l'être. Beaucoup de femmes finirent dans son lit, attirés par son prestige. Sous ses airs affables, de riche, d'homme éduqué, il avait appris à cacher une passion dévorante pour la luxure et la violence, pour le sang et la domination, pour le pouvoir dans la douleur. Il aimait ça et il voulait voir les gens souffrir. Pire encore, il voulait qu'on le fasse souffrir, qu'on lui fasse mal. Et alors qu'il courtisait de plus en plus de femmes, il se fit quelques esclaves personnels. Pas au sens propre du terme, mais elles étaient accros à son corps, à son endurance, au plaisir qu'elles éprouvaient avec lui et la douleur qui venait, inévitablement, les brisait aussi sûrement qu'on fracasse du verre avec un marteau. Elles devenaient alors utiles, glânaient des informations pour lui et revenaient pour quémander de la douceur, de l'amour. Oh qu'il donnait bien volontiers, avant d'avoir sa part à lui, la part de douleur et de luxure, inévitable. Et quand, enfin il n'avait plus besoin d'elles, il les jetaient, aussi sûrement qu'on jette des vieux déchets. Elles connaissaient la chanson, une fois que Dragomir avait plus envie d'elles, rien ne pouvait le faire changer d'avis. Et si, par malheur, elles tentaient encore de s'approcher de lui, il s'en prenait alors physiquement à l'impotente. Mais cette fois-ci, elle n'en redemanderai plus jamais. asocial, mystérieux, sadomasochiste, pro sang-pur, cherche à éradiquer les sangs de bourbes, déteste les faibles, considère les femmes comme des objets de luxure et des bonnes à tout faire, incapable de sentiments doux ou gentils pour quelqu'un, aime le côté sombre de la vie mais le cache au fond de lui. A besoin de violence et de sang pour s'épanouir, quitte à se mettre en danger. Ne pouvant pas montrer sa véritable au reste du monde, celui-ci n'étant pas encore prêt, il se cache sous des traits froids et distants, préférant se laisser manipuler et faire croire aux gens qu'ils ont l'ascendant sur lui. Il laisse sa véritable nature apparaître dans ses rapports sexuels. Il possède une "sex-friend" mais disons plutôt une nenette accro à lui, incapable de fuir sur qui il déchaîne ses passions et ses fantasmes. Prenant sont pied à lui faire du mal tout en lui faisant également ressentir énormément de plaisir, que ce soit dans ses actes du quotidien ou ses actes sexuels. A un comportement à tendance paranoïaque, est très méfiant, ne se confie jamais à qui que ce soit. Incapable d'être ami avec quelqu'un sur le long terme, il finit toujours par se détacher des liens qu'il crée. Il aime les hommes comme il aime les femmes, à la guerre il se bat pour les sangs-purs et le mal, au lit il n'a pas de préférence. Il préfère souffrir en silence plutôt que révéler sa véritable nature et finir en face d'un Auror, prêt à tout faire pour le faire craquer. Il veut exterminer les sangs de bourbes, ne sachant évidemment pas que c'est un reflet de sa vie antérieure. Se bat pour une cause perdue d'avance. Il veut contrôler son petit monde et fera tout. Personne ne lui résiste et n'essayer pas, ou vous finirez brisé. Il aime jouer, énormément, mais il ne supporte pas de perdre. Quitte à tricher pour remporter la victoire. | ET QU'IMPORTE LES OBSTACLES ET LES ECHECS, JE VAINCRAI. COMME TOUJOURS. ODAYA OCHAVEN prénom : Floriane. âge : 19 ans. comment avez vous connu amortentia ? par le staff, sur Bazzart ! présence : réduite, j'en ai peur ! des commentaires sur le forum ? Parfaitement parfait, comme d'habitude ! J'ai hâte de voir ce que vous allez nous réserver ! avatar : Anthony Gastelier. autre chose ? tu veux un parrain, une marraine ? J'veux bien un parrain oui :3 Je vote Pour Rohan ou Cordélia Non j'déconne, qui voudra souffrir avec moi ça m'ira très bien
Dernière édition par Dragomir Zakharov le Sam 30 Aoû - 16:39, édité 10 fois |
| | | Dragomir Zakharovtu fais frétiller ma baguette magique |
| Sujet: Re: Un russe pour vous faire souffrir. Mer 27 Aoû - 18:30 | |
| Même les pires âmes, ont, un jour, été bonnes. VIVRE CA SIGNIFIE SOUFFRIR, MAIS SOUFFRIR NE VEUT PAS DIRE QU'ON VA MOURIR. Cette histoire contient des passages à caractère violent et sexuel, ils pourraient choquer la sensibilité des plus jeunes. Ainsi, j'ai tout mis en spoiler, au cas où. Je ne pense pas que ce soit trop violent, mais si jamais c'est le cas et que je dois reformuler, n'hésiter surtout pas à me le signaler. - Spoiler:
Naître dans une famille riche à des avantages. Naître dans une famille riche, de sang-pur et russe possède encore plus d’avantage. Naître en étant le premier fils ? Voir même le seul fils de la famille ? C’est le jackpot. Surtout au dix-septième siècle. Non mais clairement, qu’on soit honnête, Dragomir, fils de Ivaskhov, de la famille Karkaroff ce n’était pas rien à l’époque. Qu’on récapitule, le père, sorcier de sang-purs, avait fait fortune dans l’élevage de créature magique dont il fournissait plumes, poils, chairs et autres composés aux plus offrants pour la création de baguettes, de fourrures, ce genre de choses. Très vite, il vit sa fortune croître, sous les demandes suite à la qualité – irréprochable – de son travail. Il se maria, à une jeune minette, d’à peine dix ans sa cadette, à qui il fit l’amour un nombre incalculable de fois. Et encore, on reste polis, vu qu’il n’y avait pas vraiment d’amour là-dedans, mariage arrangé oblige. Donc, on obtient deux mariés qui ne s’aiment pas, à la tête d’une belle fortune, il leur faut donc un héritier. La femme, du nom de Nina, était splendide, elle avait les cheveux longs d’un blond immaculé tirant sur le blanc, des yeux aux couleurs de l’océan et un teint de porcelaine, la rendant précieuse et douce. Le contraire de son mari, monté comme une armoire à glace, au visage dur et froid des montagnards de Russie, à la barbe noire montant sur les joues et possédant deux yeux bruns comme l’ébène dénué d’amour et de compassion. Rien ne les attirait à l’autre, rien à part la richesse de l’époux qui avait conduits les parents de la jeune Nina à marier leur fille. Une fille de bonne famille devait aller avec un homme capable de l’assumer, ce fut le cas. Il était froid, dur et distant. Violent même parfois, même s’il ne s’en prit jamais à sa femme, il frappait à côté – très près – mais jamais sur elle. Il ne la touchait que pour l’enfanter, qu’elle le veuille ou non. Rien ne destinait la jeune femme à l’aimer et elle le haït. De toutes ses forces, de tout son cœur, de tout son petit corps de jeune pucelle en quête d’amour. Mais il l’a soumis à son autorité, à sa virilité. Il en fit sa femme, sa servante, sa bonniche. Qu’on soit honnête, elle ne servait qu’à cuisiner et à s’occuper du troisième membre inférieur de monsieur. Chance pour elle, elle faisait tout à merveille ! Cuisinière hors pair, elle savait aussi bien cuisiner qu’utiliser ses mains, conduisant son époux à la respecter un tant soit peu. Enfin, tout ça pour dire qu’il l’enfanta. Un bon nombre de fois. Elle tomba deux fois enceinte. Les deux fois, ils allèrent consulter des prêtes, ou druides, ce genre de choses, qui leur annoncèrent que c’étaient deux filles. Des filles. Des filles comme premiers enfants ? Ce ne fut pas possible, il força sa femme à boire une potion pour avorter, les deux fois. Dans la plus grand secret car – bien évidemment – personne ne devait le savoir. Personne. La jeune femme, en prit un coup sur le moral, tomba dans une dépression, dans l’anorexie. Elle d’habitude si optimiste, si souriante malgré sa situation, semblait désespérée, perdue, comme si sa vie avait quitté son corps et qu’il ne restait plus qu’une enveloppe vide à peine capable de réfléchir par elle-même. Ivashkov, le mari, en fut – pas peiné, ni à attristé – touché, il eu pitié. Il voulait qu’elle soit toujours en mesure d’enfanter et pour ça, il devait lui rendre la vie. Il l’emmena voir sa famille, lui fit visiter la Russie, ils partirent en Norvège, en Suède (enfin dans les pays d’antan, qui aujourd’hui portent ces noms). Il la couva de richesse et lui procura – de temps à autre – de petites attentions qui auraient pu passer pour sincères. Et qui passèrent pour sincères aux yeux de la douce écervelée et naïve qu’était Nina. Elle crut que son époux était inquiet, que finalement il était tombé amoureux. Elle était tombée bien bas. Quand enfin elle reprit confiance, elle eut de nouveau le moral, il lui fit l’amour, pour la première fois. L’embrassant, la cajolant, lui soufflant des mots doux qu’il ne pensait pas une seule seconde. Il la fit rêver et elle rêva, elle s’envola et redescendit violemment sur terre, deux semaines plus tard quand elle remarqua qu’elle était en retard. La jeune femme, enceinte jusqu’au coup, finit chez les vieux aigris des deux premières grossesses, qui, cette fois, diagnostiquèrent l’enfant comme un mâle. Ce fut la joie, l’ivresse, le bonheur. Pour la première fois Ivashkov sembla heureux. Ce fut la seule et unique fois que sa femme le vit sourire. Ils vécurent ensemble sans incident, elle se contentant du quotidien qui était devenu une nouvelle routine et lui essayant de cajoler sa femme. Non par amour, non bien sûr que non, mais pour que son fils soit fort, robuste et qu’il puisse représenter sa lignée. Pour que sa femme ne foire pas tout le travail, en gros. Elle était amoureuse, des pieds à la racine de ses cheveux, voyant de l’amour où il n’y avait que manipulation, voyant des attentions particulières ou il n’y avait que calculs stratégiques, se voilant la face comme jamais. C’est dans cette ambiance que vint au monde le jeune Dragomir, premier du nom, premier fils de la famille Karkaroff. Fierté de ses parents, il fut aimé et chéri par sa mère. Son père lui donna une éducation stricte, sévère, intransigeante, le forgea comme on forge une arme, pour qu’elle soit maniable, forte, efficace, souple, légère à porter mais mortelle à chaque coup. Son fils devrait être bon dans les affaires et il l’était, grâce à son père il devint un manipulateur expert, capable du pire comme du meilleur. Famille de sang pur, famille respectée, famille riche, donc famille qui envoi ses enfants à l’école. Le jeune Dragomir devait aller à Durmstrang. La scolarité de Dragomir a débuté lors de ses onze ans. Il était naïf, insouciant, sûr de lui et pensait pouvoir se faire rapidement une place. C’était une toute autre paire de manche. Sa répartition dans l’école a surpris tout le village. Il était l’un des fils de la famille Meduhatsk. Et bien que tout le monde sache que le petit Dragomir cachait bien des secrets et un caractère bien défini, personne ne le pensait ainsi. Son père, à la surprise générale fut fier de lui. Il était un homme, un vrai, un de ceux qui ne se laissaient pas faire, un homme Russe, au cœur de glace et aux poings mortels. C’était la fierté de la famille, la figure paternelle en plus petit, que pouvait-il rêver de mieux ? Et pourtant ce ne fut pas simple pour le petit Dragomir. Il dut faire face à de nombreuses difficultés, il dut prouver qu’il était fort, capable de s’en sortir, qu’il était un vrai Meduhatsk et pas une grosse erreur. Il se fit frapper, de nombreuses fois, il finit nu dans le parc de l’école de nombreuses nuits, puis un jour il assuma qui il était, sa nature et sa volonté de faire souffrir. Il se souvint parfaitement de sa première victime. Il était âgé de treize ans. Cela faisait deux ans qu’une grande blonde le narguait, le prenait de haut, et envoyait ses chiens faire le sale boulot pour elle. Elle le tapait. L’humiliait. Le rendait faible. Pire. C’était une femme. Une femme qui se jouait de lui. Treize ans et déjà machiste, il ne pouvait laisser passer cet affront. Une nuit, bien après le couvre-feu, il sortit des dortoirs, courut dans les couloirs, se fit discret comme une ombre et silencieux comme la brise de minuit. Il se faufila dans les dortoirs des femmes, monta des escaliers, ouvrit des portes et tomba sur la jeune femme. Elle était grande, blonde, belle, avait de belles formes et ne faisait rien d’autre de ces journées que faire du mal. Lui aussi voulait faire du mal et en cet instant, il voulait la faire souffrir, elle. Et il voulait qu’elle s’en souvienne. Dragomir était débrouillard pour son âge et il cachait à tous sa passion pour les sorts interdits, les sor’tilèges noirs et qui vous font frissonner. Chaque nuit il dévorait des livres réservés aux élèves plus âgés, en guise d’espoir de vengeance, fantasmant au jour où il pourrait enfin les utiliser. Et ce jour était venu. L’excitation se distillait dans ses veines, il pouvait sentir son cœur battre à un rythme effréné dans sa poitrine. Il avait envie de faire souffrir cette dénommée Anastasia. Il voulait la voir souffrir, oh oui, il le désirait plus que tout. D’un coup de baguette, il éjecta sa baguette or de la pièce, la faisant traverser la pièce, d’un autre petit coup, il attacha ses chevilles et ses poignets aux montants du lit, et d’un dernier, il la bâillonna. Et tout ça sans qu’elle ne daigne se réveiller. Alors il resserra les liens, encore et encore, allant jusqu’à entailler sa chaire et à faire couler le sang. A sa grande surprise, la jeune femme gémit de plaisir avant de se réveiller brusquement, de se secouer dans tous les sens et d’essayer – sans grande réussite – de se libérer. Dragomir n’avait peut-être que treize ans, mais il était déjà grand et des muscles commençaient à saillir sous ses vêtements, bien qu’il ne possédait pas encore une carrure imposante. Il aimait cette position de domination, de force. Il aimait ça à un point qu’il n’imaginait pas. Pour la première fois, il prenait son pied. C’était mieux que tout ce dont il n’avait jamais rêvé. Il s’assit dans un fauteuil, croisant ses jambes et la regarda, un sourire sadique sur le visage. « Cesse donc de t’agiter, tu ne feras que resserrer les liens. J’aimerais te garder une petite capacité de mouvement, ce sera plus amusant. » Sa voix, habituellement chanteuse et caractéristique d’une voix en train de muer, avait enfin prix une consonance dure et froide, gutturale comme celle de son père. Il chuchotait et pourtant elle l’entendait comme s’il avait été à côté d’elle. Il soupira d’aise. Sans un mot, il ouvrit son uniforme (qu’il avait enfilé à la hâte), dévoilant son torse. Il posa sa baguette et vient jouer avec le corps de la jeune femme. Gentiment il commença à la déshabiller, à la toucher alors qu’elle paniquait. « Chut, chut. Ça ne sert à rien de le prendre comme ça. Ce n’est pas ce que tu voulais, qu’on soit ensemble ? » Lui répondit-il d’une voix chaude et suave, sensuelle. Il s’approcha encore d’elle, la cajolant, la rassurant. Il attrapa sa baguette, verrouilla les issues, lui ôta son bâillon et lui ôta la voix à jamais. Ainsi, il serait sûr qu’elle ne crierait pas. Et alors que le bâillon tombait, elle se mit à sourire, il l’embrassa. Passionnément, fougueusement et violement. Lui mordit la lèvre jusqu’au sang, déchira ses vêtements et alors que l’excitation se faisait sentir chez les deux êtres, il la mutila. Lui tranchant les poignets, lui lacérant le ventre avec la lame qu’il avait trouvé dans sa chambre. Le sang, la douleur de sa victime lui firent avoir une érection. Chose surprenante, la jeune femme ne semblait pas souffrir, bien au contraire, elle semblait prendre son pied. Il consuma son plaisir dans un ébat sexuel. Et ainsi le jeune Dragomir perdit sa virginité, découvrant alors sa véritable nature et comment il prenait son pied. Et alors qu’il détournait la tête, collé contre le corps de la jeune femme. Il vit sur la table de chevet une étrange bague, possédant les armoiries de la maison. Il avait entendu parler des Medusas, d’une troupe de dégénérés adeptes de la violence et du sexe. Il ne savait juste pas qu’il passait en fait une initiation et qu’il avait déjà marqué sa place. Il soigna les plaies de la jeune femme, l’assomma d’un sortilège pour qu’elle dorme et finalement lui rendit sa voix. Elle garderait des cicatrices, il le savait car il avait volontairement choisi un sortilège qui ne réparait pas la peau. Ou du moins, pas parfaitement. Le jeune homme savourait encore le sang de la jeune femme sur ses lèvres mais pourtant il n’était pas pleinement satisfait. Il ne savait pas pourquoi, mais il lui manquait quelque chose. Des années plus tard, il découvrit qu’il avait aussi besoin de souffrir pour prendre son pied intégral. Cette découverte lui changea la vie. Quelques années plus tard, quelques diplômes en poche, alors âgé de vingt-cinq ans, le jeune Dragomir profitait pleinement de son statut de Medusa, s’envoyant en l’air dès qu’il le pouvait, faisant souffrir autant de monde que possible. Il était assoiffé de sang, de pouvoir et de violence, alliant ceci avec un sexe des plus violents et sanglants mais il vivait de ça, ne trouvant dans rien d’autre autant de plaisir. Il avait deux jeunes femmes comme esclave sexuelle, qu’il avait réussi à formater presque entièrement. Presque parce qu’il devait encore leur donner des mots d’amour, leur faire croire qu’il les aimait alors que ce n’était pas le cas. Il aimait leurs seins, leurs fesses et la fusion de leurs corps avec le sien mais le reste, il n’en avait cure. Et de toute façon elles n’étaient bonnes qu’à rien d’autre. Il profita pleinement de ces deux poupées jusqu’à ce que la guerre ne se déclare et qu’il soit obligé de quitter l’école. Il fut l’un des premiers volontaires à aller sur le champ de bataille, il voulait se battre, faire couler le sang, il voulait faire souffrir et voir des gens mourir. Il était dingue, assoiffé de violence mais il aimait ça, comme jamais. Sur le champ de bataille, il fut redoutable, tuant sans remords et sans vergogne, prenant son pied à chaque cadavre qui tombait sur le sol. Le soir, à la fin des combats, il faisait toujours une prisonnière qu’il torturait et violait jusqu’à ce qu’elle réclame grâce. Et là, il la dorlotait, lui faisait des douceurs, la laissait pleurer sur son épaule, la cajolait tous les jours suivant avant de la faire souffrir à nouveau, une nuit entière sans s’arrêter, se défoulant sur elle. Jusqu’à ce qu’elle soit complètement instable et brisée, il en faisait alors une machine de guerre, incapable de ressentir la douleur et obéissant aux moindres de ses désirs. Il était sûr de lui, fier et arrogant. Ses créations étaient parfaites, tout bonnement parfaites. Elles étaient toutes belles, toutes bien en chair, avec des rondeurs magnifiques et des hormones à vous couper le souffle. Toutes finissaient par développer un symptôme de Stockholm envers Dragomir. Il aimait ça, il prenait son pied et envoyait ses créations sur le champ de bataille, ne se souciant absolument pas de savoir si elles allaient revenir en vie ou non. Il adorait montrer à ses créations les dernières prises et rire avec elles de la naïveté et de la gentillesse des prisonnières, puis il s’envoyait en l’air avec autant de filles qu’il pouvait avant de se vanter, encore et encore de ses exploits. Sans se rendre compte qu’il creusait tout seul sa tombe. Un soir, alors qu’il rentrait au camp, ayant reçus de nombreux sortilèges, couverts de bleus et de sang, une seule de ces esclaves sexuelles revint en vie. Ce qu’il ne savait pas, c’est que la petite Avyn avait liquidé toutes les jeunes femmes, par pitié. Parce qu’elle ne supportait plus de les voir devenir dingues et accros à un être infâme, impur et violent. Elle voulait tuer de sa propre main Dragomir qui ne se doutait pas un instant que l’une de ses filles pouvaient ne pas être complètement dingues mais juste une excellente menteuse. Elle se jouait de lui et jouait à un jeu dangereux, car elle savait parfaitement qu’il était capable de voir à travers ses mensonges. Elle se doutait même qu’il l’avait déjà découvert mais profitait qu’elle ait peur pour prendre son pied. Cet être la répugnait au plus haut point et pourtant, au fond d’elle, elle niait une certaine excitation à ses côtés, un plaisir qu’elle éprouvait avec lui. Elle l’aimait sans le savoir, préférant le détester et savourer sa future vengeance. Une lame coincée dans son dos, elle entra sous la tente, se déshabillant en marchant. Dragomir était assoupis sur le lit, nu comme à son habitude, avec un léger drap sur le corps. Elle voulait le voir souffrir, le voir mourir. Elle voulait prendre son pied en même temps qu’elle lui trancherait la gorge. Elle prenait son pied rien qu’à l’imaginer et se dégoûtait de ressentir autant d’émotions pour un simple sorcier imbu de lui-même. Elle avança sur le lit, prit soin de réveiller Dragomir à l’aide de caresses mêlées à des petites coupures partout sur son corps, il adorait ça et elle le savait. Alors qu’il passait la main dans ses cheveux, dévorant ses lèvres, elle coucha avec lui, une toute dernière fois. Elle était sûre lui, chose très rare car il n’aimait pas la domination et elle allait enfin savourer sa vengeance alors que son corps, comme celui de Dragomir était en train de saigner abondamment suites aux diverses coupures, plus ou moins profondes qu’ils s’étaient faites. Elle plaça sa lame contre la gorge de son adversaire, préférant utiliser la lame plutôt que la magie, pensant qu’il ne le verrait pas venir. Elle se trompait, complètement. « Tu croyais vraiment que j’allais te laisser me tuer sans me battre ? » Un frisson d’horreur parcourut son échine alors qu’il la tenait fermement contre lui, sa virilité toujours en elle. Une lame était dans son dos, le métal était glacial contre sa peau bouillante. « Si je meurs, autant que tu viennes avec moi ma beauté. » Et alors qu’il enfonçait sa lame entre ses côtés thoraciques, directement dans son cœur, elle lui trancha violemment la gorge. Heureuse d’avoir été jusqu’au bout de son acte. Ne se rendant alors pas compte qu’à ce même instant, deux âmes sœurs l’ignorant parfaitement mourraient ensemble pour se retrouver, plus tard, dans une autre vie.
Dernière édition par Dragomir Zakharov le Dim 7 Sep - 15:28, édité 5 fois |
| | | Dragomir Zakharovtu fais frétiller ma baguette magique |
| Sujet: Re: Un russe pour vous faire souffrir. Mer 27 Aoû - 18:30 | |
| Même les pires âmes, ont, un jour, été bonnes. VIVRE CA SIGNIFIE SOUFFRIR, MAIS SOUFFRIR NE VEUT PAS DIRE QU'ON VA MOURIR. Pour les mêmes raisons, j'ai mis cette partie de l'histoire également sous spoiler, bien que je ne la trouve pas plus choquante que ça. Si jamais c'est le cas, n'hésiter surtout pas à me demander de corriger tout ça, je le ferai au plus vite ! - Spoiler:
Venir au monde n’est jamais une chose aisée. Que ce soit pour les parents, qui attendent impatiemment l’enfant ou pour l’enfant qui ne veut qu’une chose, rester à l’intérieur de sa mère, au chaud, loin des ennuis et pourtant forcé de se sortir de son cocon protecteur pour remplir on ne sait quel rôle dans on ne sait quelle vie sur une monde que l’on ne connaît que trop peu. Dragomir est venu au monde sans savoir que l’âme qui habitait son corps était celle d’un être mort quatre cents ans plus tôt. De là a découlé de nombreux traits de ressemblance avec son ancêtre. Car oui, sans qu’il le sache, l’un de ses ancêtres, portant le même prénom que lui et ayant participé à la Grande Guerre avait pris possession de son corps. Ou plutôt, il s’est réincarné dans un petit bébé innocent. Mais voilà, pour l’instant, Dragomir vient de sortir du ventre de sa mère, collé contre son sein, il est un bébé calme, qui ne gesticule pas, qui ne crie pas. Il a poussé une plainte en sortant du ventre de sa mère et ne fait désormais plus de bruit. Même ses cris n’ont pas été nombreux, il s’est contenté d’observer le monde avec de grands yeux ouverts, découvrant et appréhendant toutes les nouveautés mises sous son nez. Il était curieux même à peine né et ne pouvait s’empêcher de mettre sa petite main potelée sur le corps de sa mère, de tourner sa tête dans tous les sens et de poser ses grands yeux innocents directement dans le regard des gens. Ces habitudes, en grandissant, ne disparaîtront pas et feront de lui un membre totalement différent et inattendu qui surprendra son cercle d’amis comme sa famille. Pourquoi donc s’appelle-t-il Dragomir ? Comme son ancêtre ? On ne sait pas vraiment. Les parents ont oublié la raison qui les a poussés à donner ce prénom. La seule chose dont la mère se souvient, c’est d’avoir plongé son regard ambré dans les yeux de son petit et d’avoir eu le pressentiment qu’elle devait l’appeler comme ça, comme si une force extérieure la poussait à choisir ce prénom. Le père lui, se contente de dire que ce n’est que le hasard et des élucubrations de bonnes femmes, mais que son fils ne ressemble pas tant que ça à l’ancêtre de la famille Karkaroff. Qui a changé de nom suite à un mariage arrangé – entre deux familles de sangs purs, heureusement ! Mais le père, bien qu’étant un être fier et bien en chair, beau parleur et manipulateur avait des soupçons, soupçons qui, au fil des années, se virent peu à peu confirmé. Son fils n’était pas celui auquel il s’attendait, peut-être avait-il trop d’espoir, peut-être était-il simplement trop paranoïaque, toujours est-il que le sixième sens du père de Dragomir ne le trompait jamais. La première fois qu’il s’en rendit compte, c’est quand il vit sa femme, quelques mois après la grossesse devenir toute bizarre, distante, malade. Pourtant personne – médecins compris – n’étaient d’accord avec lui. Sa femme était en parfaite santé. Et pourtant, au fond de lui, il savait qu’elle allait mourir et plus vite qu’il ne l’aurait jamais souhaité. Faisant confiance à son instinct, bien que ça lui déchirait le cœur, il profita des derniers moments avec sa femme comme si c’était la fin du monde, il lui offrit mille merveilles et mille attention, fut doux et gentil, compatissant et aimant, l’aimant de tout son cœur et lui montrant l’amour qu’il portait en lui pour elle mais qu’il n’avait jamais réussi à lui montrer. Pour la première fois de sa vie, il se prit au jeu des sentiments et afficha son amour, il le cria sur toits des maisons, à cheval sur son balais, il cria au monde combien sa femme était extraordinaire et combien il était chanceux. Ils vécurent des mois heureux, fous mais heureux. Puis elle décéda, brusquement, anormalement, sans que l’on sache vraiment pourquoi. Le petit Dragomir, âgé de seulement un an, ne comprit pas ce qu’il s’était passé. Mais un jour, le fameux jour de la mort de sa mère, son père, rentra à la maison pour le lui annoncé et chose extraordinaire, le petit ne pleura pas, ne cria pas mais pausa ses deux mains sur les paupières de son père, séchant – volontairement ? – les larmes de son géniteur. Se laissant ensuite tomber contre le torse de son père. Le petit ne savait peut être pas encore parlé, mais il avait compris bien des choses. Ca brisa le cœur de son père, qui ne pouvait supporter d’avoir un aussi beau bébé si sa femme chérie ne pouvait pas le voir grandir. Doucement, mais sûrement, il sombra dans l’alcool. Oubliant son quotidien, son enfant, qui grandit sans lui, apprenant par lui-même. Aidé, parfois, par les domestiques de la maison, par les voisins. La magie également, le sauva de cette vie misérable, il apprit très tôt à s’en servir et devint vite adroit, habile. Il était jeune, trop jeune, mais déjà mature et prêt à affronter la vie. Discret, mystérieux et renfermé, le jeune Dragomir devait aller à Poudlard, pour la première fois. C’était une étape nécessaire, qu’il redoutait. Mais c’était toujours mieux que d’être le père de son père et de devoir s’occuper de lui au quotidien, il allait enfin pouvoir penser à lui, apprendre des choses et peut être sortir de sa vie misérable. Il espérait de tout cœur pouvoir devenir quelqu’un, il allait en première année d’études à Poudlard. Enfin. Dragomir a toujours été différent de ses camarades. Froid, glacial, hautain et distant, il ne pensait pas être à ce point mauvais en entrant à Poudlard l’année de ses onze ans. Il fut réparti à Serpentard, chose qui ne l’étonna guère. Il fut même ravi d’y être, c’était sa maison, son foyer. C’était un jeune homme fort et talentueux, c’était donc normal qu’il soit dans la meilleure maison, celle qui valorisait les sangs-purs et traitait avec respect les seuls êtres qui devaient être respectés. Il était fier de vêtir le vert et de pouvoir déambuler dans les couloirs en tant que Serpentard. Oh que oui. Sa scolarité se passa merveilleusement bien, il eut tous ses diplômes avec facilité, les réussissant comme personne d’autre avant lui, mais dans l’ombre des couloirs, derrière le dos de l’administration, il prenait plaisir à torturer quelques un de ses camarades. Sans vraiment savoir pourquoi et sans le comprendre, il bizutait toujours les nouveaux et ce plutôt douloureusement. N’hésitant pas à se servir de sortilèges interdits pour faire souffrir les plus récalcitrants. Il prit beaucoup de plaisir à assouvir sa place de dominant, de sang-pur puissant. Il avait besoin de voir les petits courir et baisser la tête à son passage, il se sentait d’autant plus fort et respecté. La peur, il n’y avait que ça, l’amour ne servait à rien et ne fonctionnait jamais. Si l’on voulait se faire respecter, il fallait faire mal et durablement, il fallait marquer les esprits, leur faire comprendre que c’était le seul moyen pour eux de survivre, en étant ami ou allié à Dragomir. Il se fit beaucoup de vrais amis, de personnes aussi dingues que lui, qui prenaient plaisir à faire souffrir à peu près tout le monde. Mais il délaissa rapidement ces petits chiens qui le suivaient partout, trop méfiant. Il ne voulait pas finir poignardé dans le dos, c’était un risque qu’il ne pouvait courir. Durant sa scolarité, le jeune Dragomir eu beaucoup de conquêtes, plus ou moins longues dans le temps. Il aimait les femmes, il aimait les hommes et le faisait savoir. Il montrait à tous son visage avenant, jovial et doux, bien qu’il ne le soit pas. Dans les ombres, des rumeurs circulaient sur lui, ou plutôt, la vérité essayait de se frayer un chemin, mais personne ne croyait ces bruits de couloir. Dragomir s’arrangeait alors pour trouver la personne qui colportait ces rumeurs et le faisait se taire, d’une manière ou d’une autre, sans jamais tuer qui que ce soit, ce n’était pas nécessaire, l’intimidation suffisait amplement. La souffrance et la violence étaient deux alliées qu’il appréciait à sa juste valeur et qu’il sollicitait dès qu’il le pouvait, prenant son pied. Il se sentait parfois étrange, trouvant cela bizarre de prendre son pied dans la violence, les jours où il s’interrogeait, avant de se dire qu’il n’y avait rien de bizarre et que chacun voyait midi à sa porte. Mais pourtant, il l’était et plus le temps passait, plus son besoin de faire souffrir s’accrut. Déjà l’année de ses treize ans fut pour lui sa découverte du monde adulte, il se fit dépuceler par une camarade de dernière année, qui croyait que Dragomir avait son âge alors que ce n’était absolument pas le cas. Elle tomba en dépression quand elle comprit l’ampleur de son acte. Elle était majeure, lui non. Ca résume assez bien la situation. Pourtant, cela ne lui suffit pas, il se fit plus violent envers ses victimes, savourant leur douleur mais là encore, ce n’était pas suffisant. Il ressentait un besoin violent de faire du mal, de voir du sang, de voir de la douleur, il en avait besoin et pire encore, une idée horrible se frayait un chemin dans ses pensées : allié le plaisir de la chair à la violence de la douleur. Il n’arrêtait pas d’y penser, encore et encore, ne voulant pas passer à l’acte, ayant peur des conséquences et des répercussions si cela venait à se savoir. Alors il eut une petite amie. Adriana. Elle était belle, douce, gentille, de serpentard et de sang pur. Le rêve. Il l’a haïssait car elle avait toujours réponse à tout, se prenait pour une grande alors qu’elle n’avait que dix-sept ans (comme lui d’ailleurs à cette époque). Mais pire, c’était une femme et par définition elle n’était bonne à rien, la preuve même la sienne n’a pas été capable de rester en vie pour s’occuper de lui. Adriana ne valait rien et il devait la remettre à sa place. Il la fit tomber amoureuse de lui, la chouchoutant, lui offrant des attentions particulières. Il se la mit dans la poche d’une facilité déconcertante, ce fut bénéfique car tous s’accordèrent à dire qu’Adriana ne sortirait jamais avec un « bad boy » avec un dingue qui faisait souffrir les autres, les rumeurs étaient donc fausses. Et pourtant, s’ils savaient. Au fur et à mesure du temps, les deux jeunes gens s’apprivoisèrent et apprirent à se connaître, mentalement, physiquement, sexuellement. Très vite Dragomir comprit parfaitement la jeune femme, d’un naturel doux et passif, il sut qu’il pourrait la manipuler. Ainsi, il continua à lui procurer de l’amour, ne se rendant absolument pas compte qu’il s’attachait à elle. Mais il emprisonna son cœur dans un étau de glace, refusant de ressentir le moindre sentiment pour la jeune femme. C’est ainsi qu’il commençât à la faire souffrir, petit à petit, la mordant violemment ou la coupant, elle lui passait tout. Tout le temps. Pensant que ce n’était que des petits moments d’égarement – dont il s’excusait tout le temps, prétextant s’être laissé emporter. Mais il le fit tellement régulièrement, alliant la douleur aux moments de plaisir que la jeune femme en tomba complètement accro, elle devint aussi dingue que lui. Ils aimaient souffrir et prendre du plaisir, il la convertit à son passe-temps favori et ils ne s’entendirent que mieux. Ils étaient un couple solide. Ils fêtaient leurs vingt-et-unièmes anniversaires et ils étaient toujours ensemble, sans que personne ne comprenne pourquoi. Mais peu à peu, leur relation se dégrada, les proches d’Adriana se posaient des questions, s’interrogeaient sur la nature de la petite fille douce et discrète, timide et renfermée qui était accro à Dragomir, qui le mettait sur un piédestal et surtout, qui semblait bien moins timide qu’avant. Elle était extravertie et avait considérablement changé de mentalité, de caractère. Ses notes avaient chuté et elle ne s’en inquiétait pas. Tout le monde était préoccupé par l’état de la jeune femme, tout le monde pensait qu’elle tournait mal mais Dragomir rassurait tout le monde en blaguant, disant que c’était l’amour qui la rendait ainsi mais qu’elle se reprendait. Et pour couper court à tous les soupçons qui planaient sur leur relation, il la fit travailler et elle reprit son niveau d’antan alors qu’il assurait sa prise sur son mental. Les mois, les années passèrent, les études se finirent, ils firent différentes études mais restèrent ensemble. Jusqu’au jour où la jeune femme tomba des nues. Ils avaient emménagés ensemble et semblaient être un couple uni. Oh tout sur le papier semblait parfait, Dragomir était toujours attentionné et doux avec elle, tant qu’elle était comme il le voulait au lit et qu’elle faisait ses corvées, mais Dragomir n’avait jamais signé de pacte écrit, n’avait jamais découvert qu’il aimait vraiment la jeune femme et quand Drago n’aime pas sa nana, il n’est pas monogame. La jeune femme, âgée de vingt-quatre ans, tomba en dépression nerveuse quand son monde s’écroula et qu’elle se rendit compte que Dragomir était bien ce que tout le monde racontait, qu’il était bien le monstre au cœur des rumeurs de l’école. Tout lui revint, comme un vieux film dont elle ne se souvenait plus. Mais alors qu’elle pensait que ça ne pouvait pas être pire, qu’elle lâcha Dragomir, s’attendant alors à des excuses, à des explications, ce dernier se fendit d’un éclat de rire, se moquant de la naïveté de la jeune femme et enterra les restes de son cœur. Ce jour-là, il la brisa totalement, il joua avec elle et avant qu’elle parte, il l’embrassa passionnément, lui fit des câlins et l’embrassa dans le coup – son point sensible. Elle pensait qu’il regrettait, qu’il était désolé, il lui fit croire, via des mots, des gestes, des expressions faciales qu’elle allait lui manquer, qu’il avait encore besoin d’elle. Elle lui répondit qu’elle avait besoin de temps avant de prendre une décision. Alors il lui laissa du temps. Et elle revint. Une fois. Puis deux. Puis trois. Puis ils eurent à nouveau des rapports réguliers, à tel point qu’ils en devinrent accros, l’un comme l’autre. Ils se faisaient du mal, psychiquement et physiquement, mais ils étaient totalement dingues du corps de l’autre, prenant leur pied à chaque fois qu’ils se voyaient. Mais Dragomir prenait aussi son pied à côté et dans l’ombre il se battait pour éradiquer des sang-mêlés, et des sang-de-bourbe, choses qu’il considérait comme contre nature. Et alors que cette dernière tentait de se reconstruire une vie – sans grand succès – le jeune Dragomir vieillit et eu vingt-sept ans. Il était concentré dans sa tâche d’éradiquer de la planète tous les sang-de-bourbe et il finirait par y arriver. Mais ces derniers temps, il avait l’impression de devenir complètement dingue. Des flashs dans son sommeil le réveillaient à des heures impossibles, il se voyait en train de faire du mal, en train de faire souffrir des jeunes femmes, de les torturer mais aussi de tuer sur un champ de bataille. Le pire dans cette histoire, c’est que ces rêves étaient fabuleux, il prenait son pied comme jamais. Bien qu’il se doutait clairement que ce n’était que des rêves. Enfin, c’est ce qu’il croyait, jusqu’au jour où ses rêves vinrent se superposer à sa réalité, vinrent le déranger dans son travail, dans son quotidien, comme si c’était des souvenirs. Or ce n’était pas possible. Dragomir n’en laissait rien paraître, mais il était inquiet. Très inquiet, était-il en train de devenir dingue ?
Dernière édition par Dragomir Zakharov le Dim 7 Sep - 16:01, édité 6 fois |
| | | Daegan GreengrassTHE WEIGHT OF OUR MEMORIES |
| | | | Robyn LysaghtPROPRIÉTÉ DE CLÉM, PAS TOUCHE SINON CA VA CHIIIER. |
| Sujet: Re: Un russe pour vous faire souffrir. Mer 27 Aoû - 20:11 | |
| qu'il est mignon cet inconnu et puis le pseudo bienvenuuue, bon courage pour ta fiche |
| | | Echo LaertiadisYOU'RE LOSING YOU MEMORY NOW |
| | | | | | | | Ciaràn MaxwellIT'S DRIVING ME CRAZY |
| Sujet: Re: Un russe pour vous faire souffrir. Jeu 28 Aoû - 17:02 | |
| ODAAAAAYAAAAAAAAA mon p'tit chou qui partage mon amour pour les fesses de Leif (c'est hyper tendancieux dit comme ça mais tant pis, NO SHAME). Bienvenue iciiiii |
| | | Rohan GarriganLE ROI DES KEKES |
| Sujet: Re: Un russe pour vous faire souffrir. Jeu 28 Aoû - 17:56 | |
| |
| | | Dragomir Zakharovtu fais frétiller ma baguette magique |
| Sujet: Re: Un russe pour vous faire souffrir. Ven 29 Aoû - 11:30 | |
| |
| | | Briseïs VessaliusIT'S DRIVING ME CRAZY |
| Sujet: Re: Un russe pour vous faire souffrir. Sam 30 Aoû - 13:17 | |
| Le gif ma tuer de rire Bref, bienvenue ici Et bonne chance pour ta fichette |
| | | Dragomir Zakharovtu fais frétiller ma baguette magique |
| Sujet: Re: Un russe pour vous faire souffrir. Sam 30 Aoû - 13:18 | |
| |
| | | Cordélia SwanPROPRIÉTÉ DE SANDRA, AMOOOOUR DE SA VIE. PAS TOUCHE. |
| Sujet: Re: Un russe pour vous faire souffrir. Mer 10 Sep - 14:16 | |
| Alors Je dois avouer que je suis un peu... perturbée à la fin de cette fiche? On va reprendre les soucis point par point tu veux bien?
- Pour commencer, le physique de Nina nous dérange --- ça c'est juste une petite lubie de notre part. Il ressemble bien trop au physique d'Emilia Clarke dans GoT - donc de Briséis. Or, toute la construction du personnage de Briséis/Echo tourne autour du fait qu'elle est assez unique physiquement - notamment ses cheveux - donc je vais devoir te demander de retoucher ça
- tu dis à un moment qu'il est un fils Meduhatsk mais c'est pas une famille c'est une maison. i am lost.
- les médusas n'allaient jamais combattre sur le terrain (ou juste une ou deux fois MAXI dans toutes leur carrière quand y avait pas assez d'effectifs) donc dragomir ne pouvait pas s'y rendre
- sa scolarité présente est en tout point problématique, je m'explique. * Premièrement, ce "il est meilleur que tout le monde parce qu'il est naturellement doué" etc. nous ne l'acceptons pas de plus, il n'a pas pu réussir ses diplômes mieux que quiconque avant lui. Il y a des sorciers phénoménaux rien qu'une dizaine ou vingtaine d'années avant lui comme les frères Swan ( Aloysius et Launselot) ou même l'actuel directeur de Poudlard, sans parler de Vulpiano et Octavia de Medici. Il y a également eu de meilleurs sorciers apèrs lui comme Mateus Lazaridis ou Cordélia Swan. * J'ai déjà refusé ça a quelqu'un donc je vais devoir te le refuser aussi: il était impossible d'utiliser des sortilèges interdits à poudlard et de torturer les élèves surtout douloureusement. Astaroth l'aurait su. La seule exception est Echo qui a été plutôt été embêtée par Alecto mais qui faisait surtout de la torture mentale. Et puis je serais franche: s'il avait torturé les plus jeunes, Cordélia, Mateus et Daegan se seraient ligués et auraient fait disparaître son cadavre au fond du lac du château il peut bien sûr avoir eu son petit groupe de populaires etc. Mais le côté mec qui torture et qui est le gros badass, non. *Le dépucelage a treize ans... dans le passé, ok c'était les moeurs. Mais le présent je suis désolée je vais devoir te demander de changer car vraiment, c'est dérangeant. C'est limite pédophile et donc c'est juste pas possible. Je sais que c'est pas voulu comme ça mais vraiment ça m'perturbe trop.
- pareil pour la scolarité passée, il y avait des éléments tiptop chez les medusa comme Alexei ou encore Proserpine.
voili voilou |
| | | Dragomir Zakharovtu fais frétiller ma baguette magique |
| Sujet: Re: Un russe pour vous faire souffrir. Mer 10 Sep - 17:40 | |
| Alors pas de soucis je modifierai sur mon ordi. Ensuite on va rectifier quelques points histoires que vous ne me voyez pas comme une marye sue ^^ Pour Briseis, franchement c'est un pas de bol vu que j'ai pas du tout regardé les persos mais je changerai je comprends ^^ Ensuite pour la scolarité, c'était pas dans ce sens là que je voulais le faire passer. Je me suis mal exprimée donc je reformulerai mais il se croit meilleur que tout le monde mais il ne l'est pas du tout en fait XD j'étais lancée dans mon spitch j'ai pas fait gaffe. C'est vraiment le mec qui pète plus haut que son cul pour rien, c'est un gars normam en fait xD Pour les medusas j'ai pas fait gaffe désolée :o vraoment ! Et je disais famille mais c'était maison, plus dans le sens qu'il se sentait plus proche de sa maison que de sa famille. Pour les sortilèges, je comprends ça aurait été trop facile sinon XD Et euh j'ai grave honte pour le présent, il était censé être plus vieux, je réviserai plus mes cours avant de taper ma fiche pris xD j'étais persuadée que tu disais ça comme ça alors j'ai été vérifié et.. honte à moi Pour les medusas ça complique tout.. il peit être allé sur le champ de bataille mais pas sous les couleurs de sa famille ? Jusque parce qu'il est dingue dans sa tête et qu'il voulait participer ou ils ont eu un rôle particulier dans la guerre ? (Désolée si c'est dit dans les annexes j'ai pourtant tout bien lu ) Et sinon bah désolée du dérangement, et surtout d'avoir fait de la grosse merde absolue --' Je reecrirai tout ça au plus vite pour que ça colle Et si steady passe par ici, promis je lui rep en tant que Soren au plus vite ! Des poutoux à tout le monde et bonne soirée ! |
| | | | Sujet: Re: Un russe pour vous faire souffrir. | |
| |
| | | | Un russe pour vous faire souffrir. | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|